La percezione del cambiamento e le attese sul futuro viste da una giovane studentessa e dai suoi compagni di liceo.
Les robots dans notre quotidien
de Chiara Marcoccia
Le XXIe siècle. La science. La découverte. Le progrès.
Dans notre histoire sont apparues avec le temps de nouvelles figures. Le philosophe, l’artiste, l’acteur, l’orateur, le marchand, le banquier, l’électricien…
Dans notre vie apparaît jour après jour une nouvelle figure. Le robot.
Le personnage du robot apparaît d’abord dans les œuvres de science-fiction, où il prend la forme d’une “machine à l’aspect humain, capable de se mouvoir, d’exécuter des opérations, de parler”, nous dit le dictionnaire Larousse. Le résultat de la capacité de l’homme de synthétiser l’être humain. De créer une copie de lui-même. Un rêve. Irréalisable.
Mais si l’homme a longtemps rêvé de voler, le jour est arrivé où il a réellement pu s’éloigner de la terre. Ou se rapprocher du ciel. De la même manière, aujourd’hui le robot n’est plus oeuvre de science-fiction, mais de science. Science en évolution. La définition même du mot change. On parle d’un “appareil automatique capable de manipuler des objets ou d’exécuter des opérations selon un programme fixe, modifiable ou adaptable”. Une invention humaine capable de modifier la matière, d’agir sur l’espace environnant. Capable d’actes qui modifient ce qui l’entoure. Ayant les capacitées matérielles, physiques d’un être humain. Et même plus.
Le terme vient du tchèque. Robota. Travail forcé. Le robot est aussi conçu comme plus fort, plus rapide, infatigable, indestructible. Les capacités d’un homme, le corps est l’esprit d’une machine: exact dans le ‘raisonnement’, puissant dans la pratique. Il pourrait faire ce que l’être humain est incapable de faire en quelques secondes et sans se fatiguer, sans se tromper. Ce que l’homme ne sait pas faire, ce que l’homme ne veut pas faire. Les travaux forcés. Le robot remplacerait l’homme dans les tâches fastidieuses, difficiles, impossibles, inhumaines.
Et peut-être…
Les robots nous aideraient-ils? Rendraient-ils le monde meilleur ou alors le précipitetaient-ils vers sa destruction?
Au cours de la semaine passée, 65 étudiants de 14 à 18 ans ont répondu à un sondage répondant au grand interrogatif: “Que pensez-vous des robots?”
L’idée de voyager dans une voiture ou un bus conduits par un robot inquiète 40% des élèves, ne trouble pas tant que ça le 25%, amuse énormément le 20%, terrorise le 9%. Puis il y a ceux qui s’inquiètent pour les chauffeurs qui seraient au chômage, qui aiment bien l’idée à condition que ce soit sûr ou qui remarquent que l’erreur est humaine, un robot n’en ferait pas, il faut être confiants.
43% des lycéens mangerait des pâtes préparées par un robot, 32% se demande où est le problème, 18,5% n’oseraient jamais, quelqu’un affirme que ‘mama do it better’, d’autres n’aiment pas l’idée, demandent la garantie que le robot ne perde pas de visses pendant l’opération ou qu’il soit contrôlé par un humain.
66%: un robot de ménage au lycée? Pourquoi pas? Pour 23% se serait trop bien, et 8% aurait trop peur de le voir surgir dans son dos. D’autres rappellent qu’il faudrait renvoyer les dames de ménage ou répondent tout simplement ‘non’.
Encore 55% répond ‘pourquoi pas?’ à un robot de ménage chez eux, le 25% est enthousiaste: le robot ferait les devoirs à sa place! 17% s’exclame ‘Noooon!!!’ alors que quelqu’un préfèrerait la domotique avancée ou trouve l’idée pratique pour ranger sa chambre.
Enfin, qu’est ce que les lycéens pensent des robots?
En deux mots, le 31% explique qu’avec l’argent économisé sur les salaires dont les robots n’auraient pas besoin l’État pourrait financer les études de ceux qui jusque là auraient pu avoir un avenir uniquement comme chauffeur, cuisinier ou opérateur de surface, en leur donnant ainsi plus d’opportunités. 28% est moins confiant et réplique que les robots voleraient notre travail, 16% pense que vivre avec eux serait comme un film de science-fiction, 8% affirme que leur présence ne changerait pas beaucoup dans nos vies tandis que le même nombre s’émerveille: “Moi? Penser? Jamais fait!” et que d’autres constatent qu’il y a beaucoup de pour et de contre, qu’ils ne leur feront pas confiance jusqu’à ce qu’ils soient présent dans leur vie quotidienne, que c’est un soutien utile, mais pas dans l’excès; qu’on ne travaillerait plus, les robots le feraient à notre place, et on serait en vacances tout le temps; ou affirment de ne pas avoir besoin de robots pour vivre ou de ne leur faite pas confiance.
En somme, pas tous voient le développement de robots de manière positive ni ont complète confiance envers nos amis computérisés. Pourtant, leur apparition pourrait modifier nos vies positivement; mises à part les vacances permanentes, ils pourraient nous aider à nous développer grâce à leurs techniques supérieures et modifier notre société (forcément, puisque ces nouveaux membres et leur intégration modifieront les équilibres: les changement, on peut le voir grâce au sondage, ne sont pas faciles à digérer et peuvent être mal perçus et créer un climat de méfiance) en mieux peut-être! Qui sait qu’ils nous aideraient pas à diminuer les inégalités? Il est réconfortant de voir qu’un bon 31% espèrent en la création de nouveaux et meilleurs emplois pour substituer ceux délégués aux robots.
Et vous, qu’en pensez-vous?